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EMBERS : premier clip (signé Dehn Sora)

par | Jan 23, 2023 | Actualités, Artiste

Nouveau projet mené par Julien T. (The Great Divide, Ovtrenoir, SaaR, Throane), Embers ne se revendique d’aucune scène et ne cherche pas à se définir autrement que par le mot « rock » au sens le plus ouvert et le plus large possible. Une identité forte et personnelle dont le talentueux Dehn Sora s’est chargé de la continuité graphique : de l’artwork au clip en passant par les photos. 

Découvrez dès maintenant « Babayaga », un premier clip extrait d’un EP à venir en Mars. Un single dont le thème principal est les peurs infantiles.

Embers – « Babayaga »

© Dehn Sora
« Babayaga, c’est la figure de la sorcière dans les contes slaves. Quelle que soit la forme qu’on lui donne, le grand méchant loup, l’ogre, le croque mitaine… Cela symbolise les peurs d’enfant. Ici c’est un parent qui s’adresse à son enfant et qui, en le rassurant, se détourne de ses propres anxiétés, ses démons ou ses addictions. Cette chanson s’est imposée naturellement comme celle que nous voulions faire découvrir en premier. Pour le clip nous avons fait appel à Dehn Sora, dont on apprécie le travail et la créativité. Celui-ci a su créer un univers à la fois sombre et enfantin avec une esthétique qui colle parfaitement à ce que l’on voulait exprimer au travers cette chanson.« 
(Embers)

Créé en 2022, Embers est nourri par diverses influences et est composé de Julien T. (The Great Divide, Ovtrenoir, SaaR, Throane) ainsi que de Tibo F. auxquels d’autres musiciens viennent s’ajouter pour le live. 

Le nom « Embers » exprime l’idée de ce qui reste après que le feu ait brulé. C’est l’état d’une personne, le moment d’une vie, un sentiment, une envie, qui a déjà consommé sa passion et brulé ses premières flammes. Cette chose ténue et fragile, comme une bougie vacillante, en est au point où elle peut s’éteindre, disparaître et devenir cendre… ou repartir si un souffle vient la raviver ; de la braise prête à s’éteindre peut renaître le feu.

Embers c’est la nostalgie des premières passions, des premières expériences, d’une adolescence passée, des rêves qui ont vécu et se sont consumés et l’espoir d’un cœur rougeoyant prêt à s’enflammer de nouveau. C’est un passé tourné vers l’avenir.

Embers
Sortie le 14 Mars
01. Babayaga
02. Kopayako
03. Without You
04. Corset
05. Neverland
06. Quartier Lointain
Production, mix & mastering  
Francis Caste
Studio Sainte Marthe, Paris

Harmoniques dissonantes, basse vrombissante, cris et double-pédale : cet inédit produit par Chris W Ryan (NewDad, Just Mustard, Enola Gay) porte au grand jour les influences les plus lourdes et les atmosphères les plus sombres de Witch Fever.

Nous voulions vraiment avoir un son plus puissant. affirme d’ailleurs Alex Thompson (basse). 

Une agressivité qui se retrouve également dans les paroles, dans lesquelles Amy Walpole s’inspire de nouveau des expériences traumatisantes qu’elle a vécues en grandissant au sein de l’Église charismatique.

“Dead to Me !” libère la colère d’avoir grandi avec la pression d’être toutes les choses que les filles sont censées être – douces, mignonnes et conformes – tout en étant déçue par les institutions qui ont manqué à leur devoir de diligence. Un texte impitoyable et direct, laissant peu de place à la lecture. “Je dis simplement que tous les anciens de l’église qui m’ont laissé tomber sont morts à mes yeux !” (Amy Walpole, chant)

Cette chanson est également un doigt d’honneur bien tendu à quiconque le mérite. “Lorsque nous jouons ce titre live, il y a un tas d’autres personnes auxquelles je pense et qui sont mortes pour moi. N’importe qui peut l’écouter et se dire « ouais, j’emmerde cette personne ». C’est comme une forme de libération.” (Alex Thompson, basse)

Quelques échos de la presse anglaise :

les riffs titanesques du rock classique et la gouaille du punk ” – The Guardian

C’est quelque chose qui pourrait brûler les pelouses et les bâtiments, c’est Witch Fever !” – Steve Lamacq, BBC Radio 6 Music

un doom-punk vital et inclusif pour un monde en proie au chaos ” – NME: 4*

Il est clair que le voyage de Witch Fever ne fait que commencer, et c’est un tremplin pour tracer une voie fulgurante, briser ce système patriarcal obstiné, et continuer à vivre délicieusement.” – Kerrang!: 5/5 

Line-up :
Amy Walpole (Chant)
Alex Thompson (Basse et backing vocals)
Alisha Yarwood (Guitare)
Annabelle Joyce (Batterie)

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