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Untitled with drums – un premier album hautement salué !

par | Mai 27, 2020 | Artiste, Communiqués

Il y a des coups de coeur forts.

Et Hollow d’Untitled with drums en est un. Aussi, nous sommes ravis de constater que cet engouement est partagé par la presse qui s’empare du premier album des Clermontois. Outre la double page d’interview dans New Noise Magazine et le Sélecteur de Guitar Part, Hollow fait l’objet de beaucoup de chroniques en presse spécialisée.

En attendant de les voir en chair et en os, on vous laisse avec un live de Strangers à la Coopérative de Mai. Un live dont le groupe s’explique sur le concept et la forme :

« Le parti pris du montage en multicam sur différents supports vidéos (Gopro, téléphone, caméscopes) visait à tirer parti d’un manque de moyens et d’effectifs tout en cherchant à retranscrire le concert de la manière la plus complète possible. Une façon de voir le live avec des angles de vue diversifiés, tel qu’il a été capturé par différentes personnes dans le public puis recomposé, à la manière d’un bootleg.” 

Harmoniques dissonantes, basse vrombissante, cris et double-pédale : cet inédit produit par Chris W Ryan (NewDad, Just Mustard, Enola Gay) porte au grand jour les influences les plus lourdes et les atmosphères les plus sombres de Witch Fever.

Nous voulions vraiment avoir un son plus puissant. affirme d’ailleurs Alex Thompson (basse). 

Une agressivité qui se retrouve également dans les paroles, dans lesquelles Amy Walpole s’inspire de nouveau des expériences traumatisantes qu’elle a vécues en grandissant au sein de l’Église charismatique.

“Dead to Me !” libère la colère d’avoir grandi avec la pression d’être toutes les choses que les filles sont censées être – douces, mignonnes et conformes – tout en étant déçue par les institutions qui ont manqué à leur devoir de diligence. Un texte impitoyable et direct, laissant peu de place à la lecture. “Je dis simplement que tous les anciens de l’église qui m’ont laissé tomber sont morts à mes yeux !” (Amy Walpole, chant)

Cette chanson est également un doigt d’honneur bien tendu à quiconque le mérite. “Lorsque nous jouons ce titre live, il y a un tas d’autres personnes auxquelles je pense et qui sont mortes pour moi. N’importe qui peut l’écouter et se dire « ouais, j’emmerde cette personne ». C’est comme une forme de libération.” (Alex Thompson, basse)

Quelques échos de la presse anglaise :

les riffs titanesques du rock classique et la gouaille du punk ” – The Guardian

C’est quelque chose qui pourrait brûler les pelouses et les bâtiments, c’est Witch Fever !” – Steve Lamacq, BBC Radio 6 Music

un doom-punk vital et inclusif pour un monde en proie au chaos ” – NME: 4*

Il est clair que le voyage de Witch Fever ne fait que commencer, et c’est un tremplin pour tracer une voie fulgurante, briser ce système patriarcal obstiné, et continuer à vivre délicieusement.” – Kerrang!: 5/5 

Line-up :
Amy Walpole (Chant)
Alex Thompson (Basse et backing vocals)
Alisha Yarwood (Guitare)
Annabelle Joyce (Batterie)

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