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Dirty Black Summer – Le clip de Your Great Deception

par | Mai 4, 2021 | Actualités, Artiste

Dirty Black Summer est le projet d’une certaine rédemption musicale cherchée par cinq musiciens œuvrant parmi les formations les plus abrasives de la Baie des Anges : Svart Crown, In Other Climes, Wormsand.

Des musiciens chevronnés issus des scènes black, hardcore ou stoner, aujourd’hui réunis, cherchant la bénédiction post mortem de Layne Staley et sous l’oeil amusé de Glenn Danzig.

Des amoureux du genre alternatif de Seattle offrant un hommage empreint de nostalgie d’une époque révolue.

Avec Dirty Black Summer, ses membres cherchent à retrouver leurs premiers émois musicaux, l’exaltation de leurs débuts ; volonté attisée par la mise au repos forcé imposée par le premier confinement, du repli sur soi qui en a découlé. Dirty Black Summer émerge alors du néant dans une sorte d’urgence et est une soupape cathartique qui s’exprime par un Rock 90’s post grunge avec en filigrane, l’essence du black metal.

« Il y a un an se terminait de façon abrupte toutes nos activités liées de près ou de loin à la scène. Rien ne s’est déroulé comme prévu et il a fallu combler ce manque en étant créatif »

JB Le Bail

Le premier EP de Dirty Black Summer, Great Deception, sortira le 21 Mai 2021 chez Nova Lux Production/ Season of Mist.

Il prend la forme d’un six titres réunissant cinq compositions originales et une reprise pour le moins surprenante (“Womanizer” de Britney Spears pour ne pas la nommer). Vingt-sept minutes par lesquelles, sans être forcément déconnecté de l’époque actuelle, Dirty Black Summer revisite les codes du genre en y incorporant une touche sulfureuse. Si l’oreille pense au post-grunge, l’œil remarque de nombreuses influences cinématographiques accentuant ce voyage dans le temps. “The Descent”, par exemple, donnant une nouvelle bande-son aux premières œuvres de Tarantino ou à Natural Born Killers, le classique d’Oliver Stone.Great Deception pose en musique des échecs, des désillusions, des addictions, des peurs.

Toutes ces failles qui, au quotidien, nous animent et nous rendent simplement plus humains. Et Dirty Black Summer se révèle être finalement bien plus qu’un fantasme d’été.

TRACKLIST
   01. Your Great Deception
   02. Know Better
   03. The Descent
   04. You And I
   05. Womanizer
   06. Forget My Name

Artwork ©Alex Eckman-Lawn

Le 21 Mai, jour de la sortie de ce premier EP, Dirty Black Summer vous donne rendez-vous pour un live stream à la MJC Picaud de Cannes : https://www.facebook.com/events/580649666246044/

En attendant ce live, nous vous partageons avec joie le clip coloré et léché de ce premier single :

Pour suivre le groupe sur les réseaux :

 Facebook : www.facebook.com/Dirtyblacksummerofficial 
 Instagram : www.instagram.com/dirtyblacksummerofficial 
 Bandcamp : www.dirtyblacksummer.bandcamp.com 

Harmoniques dissonantes, basse vrombissante, cris et double-pédale : cet inédit produit par Chris W Ryan (NewDad, Just Mustard, Enola Gay) porte au grand jour les influences les plus lourdes et les atmosphères les plus sombres de Witch Fever.

Nous voulions vraiment avoir un son plus puissant. affirme d’ailleurs Alex Thompson (basse). 

Une agressivité qui se retrouve également dans les paroles, dans lesquelles Amy Walpole s’inspire de nouveau des expériences traumatisantes qu’elle a vécues en grandissant au sein de l’Église charismatique.

“Dead to Me !” libère la colère d’avoir grandi avec la pression d’être toutes les choses que les filles sont censées être – douces, mignonnes et conformes – tout en étant déçue par les institutions qui ont manqué à leur devoir de diligence. Un texte impitoyable et direct, laissant peu de place à la lecture. “Je dis simplement que tous les anciens de l’église qui m’ont laissé tomber sont morts à mes yeux !” (Amy Walpole, chant)

Cette chanson est également un doigt d’honneur bien tendu à quiconque le mérite. “Lorsque nous jouons ce titre live, il y a un tas d’autres personnes auxquelles je pense et qui sont mortes pour moi. N’importe qui peut l’écouter et se dire « ouais, j’emmerde cette personne ». C’est comme une forme de libération.” (Alex Thompson, basse)

Quelques échos de la presse anglaise :

les riffs titanesques du rock classique et la gouaille du punk ” – The Guardian

C’est quelque chose qui pourrait brûler les pelouses et les bâtiments, c’est Witch Fever !” – Steve Lamacq, BBC Radio 6 Music

un doom-punk vital et inclusif pour un monde en proie au chaos ” – NME: 4*

Il est clair que le voyage de Witch Fever ne fait que commencer, et c’est un tremplin pour tracer une voie fulgurante, briser ce système patriarcal obstiné, et continuer à vivre délicieusement.” – Kerrang!: 5/5 

Line-up :
Amy Walpole (Chant)
Alex Thompson (Basse et backing vocals)
Alisha Yarwood (Guitare)
Annabelle Joyce (Batterie)

Suivre Witch Fever :
   https://www.witchfever.com/
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