Not Scientists
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Not Scientists : découvrez « Rattlesnake »

par | Jan 9, 2023 | Actualités, Artiste

Après avoir annoncé son troisième album avec l’entêtant single « Like Gods We Feast », Not Scientists en propose un second extrait ! Découvrez donc dès maintenant « Rattlesnake », trois minutes trente de rock mélodique teinté de new wave

Staring At The Sun sortira le 03 Février prochain chez Kicking Records.

Not Scientists – « Rattlesnake »

C’était il y a bientôt 10 ans. Not Scientists voyait le jour du côté de la région Rhône Alpes sous l’impulsion de la paire de guitaristes Ed et Jim, fraîchement orphelins d’Uncommonmenfrommars (leur groupe de toujours et fer de lance du Punk-Rock mélodique en France). Avec l’appui d’une rythmique bétonnée par Le Bazile (moissonneur batteur du groupe de Punk Rock No Guts No Glory) et Thibault, les deux compères démarrent une aventure en repartant de rien. Ou presque. Car l’envie est bien au rendez-vous. Détruire pour reconstruire, jouer pour exister. 

Œuvrant dans un registre Indie Rock avec pour fil conducteur des guitares claires et des mélodies imparables, les musiciens appliquent à la lettre les préceptes du circuit Punk-Rock dont ils sont issus : enregistrer un premier EP (Leave Stickers on our Graves), tourner sans relâche, enchaîner avec un deuxième EP, tourner sans relâche. Et sortir un premier album (Destroy to Rebuild) sans omettre de tourner sans relâche. Le split 45 tours partagé avec les légendaires Hard-Ons en 2017 viendra donner quelques pistes sur le ton de Golden Staples, le futur deuxième album qui paraîtra en 2018. Les sonorités s’enrichissent d’influences New Wave et le tempo moins élevé que lors des précédentes productions donne une nouvelle saveur à la qualité d’écriture du groupe. Déjà roi du bitume, le groupe s’exporte de plus en plus hors de nos frontières pour accompagner les tournées de The CopyrightsBaboon showThe Flatliners et Ducking Punches. Mais la France n’est pas en reste, preuve en est la tournée partagée avec Johnny Mafia pour célébrer la sortie de leur split 45 tours à l’automne 2019. Les concerts s’enchaînent jusqu’en décembre 2019, date marquant le départ de Thibault (remplacé par Julien de No Guts No Glory) et la volonté du groupe de souffler un peu après plus de cinq d’activités quasi ininterrompues.

Le premier confinement lié à la pandémie mondiale n’aura donc pas affecté l’emploi du temps du groupe. Il aura même permis d’accélérer le processus créatif de Staring at the Sun. Renouvelant leur confiance à Santi Garcia du studio Ultramarinos Costa Brava, les quatre musiciens ont accepté d’être mis en danger par l’ingénieur du son avide de nouveautés et ont exorcisé les influences enfouies au fond de leur cœur. Un nouveau souffle pour le groupe prompt à exprimer son amour éternel pour le rock mélodieux et harmonieux et son attachement aux ambiances synthétiques et polyphoniques.

Not scientists piscine
© Paloma H. Cortes
pochette not scientists
© Artwork : Ulrich Totier

Staring At The Sun

01. Push
02. Like Gods We Feast
03. Heart Attack
04. Why Do You Do This To Me
05. Rattlesnake
06. Standing At The Edge
07. Secrets
08. %8×5
09. Downfall
10. Staring At The Sun
11. Listen Up

Harmoniques dissonantes, basse vrombissante, cris et double-pédale : cet inédit produit par Chris W Ryan (NewDad, Just Mustard, Enola Gay) porte au grand jour les influences les plus lourdes et les atmosphères les plus sombres de Witch Fever.

Nous voulions vraiment avoir un son plus puissant. affirme d’ailleurs Alex Thompson (basse). 

Une agressivité qui se retrouve également dans les paroles, dans lesquelles Amy Walpole s’inspire de nouveau des expériences traumatisantes qu’elle a vécues en grandissant au sein de l’Église charismatique.

“Dead to Me !” libère la colère d’avoir grandi avec la pression d’être toutes les choses que les filles sont censées être – douces, mignonnes et conformes – tout en étant déçue par les institutions qui ont manqué à leur devoir de diligence. Un texte impitoyable et direct, laissant peu de place à la lecture. “Je dis simplement que tous les anciens de l’église qui m’ont laissé tomber sont morts à mes yeux !” (Amy Walpole, chant)

Cette chanson est également un doigt d’honneur bien tendu à quiconque le mérite. “Lorsque nous jouons ce titre live, il y a un tas d’autres personnes auxquelles je pense et qui sont mortes pour moi. N’importe qui peut l’écouter et se dire « ouais, j’emmerde cette personne ». C’est comme une forme de libération.” (Alex Thompson, basse)

Quelques échos de la presse anglaise :

les riffs titanesques du rock classique et la gouaille du punk ” – The Guardian

C’est quelque chose qui pourrait brûler les pelouses et les bâtiments, c’est Witch Fever !” – Steve Lamacq, BBC Radio 6 Music

un doom-punk vital et inclusif pour un monde en proie au chaos ” – NME: 4*

Il est clair que le voyage de Witch Fever ne fait que commencer, et c’est un tremplin pour tracer une voie fulgurante, briser ce système patriarcal obstiné, et continuer à vivre délicieusement.” – Kerrang!: 5/5 

Line-up :
Amy Walpole (Chant)
Alex Thompson (Basse et backing vocals)
Alisha Yarwood (Guitare)
Annabelle Joyce (Batterie)

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